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Cosmologie du Vivant

Indéniablement, une  partie transcendante de la Réalité existe et passe à travers nous, infiltrant l’Univers de ses images.

La science devrait  envisager que la gravitation et la conscience puissent former des dipôles opposés parce que la perception est une compression fractale, l’attention fabrique la gravité qui en générant une compression, produit un vortex. 

L’Univers naît de notre pupille et y retourne. Nul passé, nul futur, l’œil, vortex de gravité, comme le noyau d’une cellule se comporte comme un trou noir ; c’est ainsi que le Tout émerge de notre vision et s’y anéantit en actualisant l’instant présent, limite de la matière .Et si, la Théorie du Tout nous souriait dans le regard de

Mona Lisa…

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Actuellement les limites de la mesurabilités sont atteintes tant en microphysique (physique quantique), qu’en macrophysique (cosmologie), et rien ne permet de prétendre que les paramètres pertinents pour comprendre l’Univers soient mesurables et quantitatifs.

La vie est formation de forme, et les formes vivantes sont des totalités émergentes, elles ne peuvent être saisies à travers une lentille, d’autant que chaque objet de ce monde n’est pas seulement lui- même, mais implique l’existence de tous les autres et se ramène en définitive à les contenir tous.

Le monde physique n’est pas un ensemble d’objets aux propriétés définies mais un réseau de relations, une trame dont chaque fils entrelacé communique avec la totalité.

Rien n’est possible en dehors de l’interaction, si nous existons c’est grâce aux milliards de cellules qui nous composent. Conscients de cela, nous pouvons concevoir que nous sommes, à notre échelle, une cellule, une unité de conscience de ce Grand Corps qu’est l’Humanité et dans une plus vaste perspective nous pouvons aussi envisager, que nous sommes le substrat de l’Univers.

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