Idées directrices
La recherche d'aujourd'hui doit se concentrer sur le vivant et non sur les machines, et pour cela elle doit se situer à l'échelon des mécanismes primordiaux gouvernant les processus vitaux.
Pour comprendre l'essence de la vie,
nous devons considérer les aspects encore négligés aujourd'hui en biologie ,
tels que les phénomènes de surface, l'électrophysiologie moléculaire, les processus de mémoire cellulaire - code et champ - et la cytocybernétique.
L'essence du vivant résultent de phénomènes physiques localisés au niveau de l'atome et de la molécule.
Ce sont les lois de la physique quantique
qui contrôlent les mouvements moléculaires générateurs de la vie..
Quand la physique, pour expliquer la matière a cherché à comprendre l'atome, elle a usé de théories pour dépasser le niveau expérimental direct et obtenu ainsi des résultats spectaculaires.
La biologie se trouve devant un problème similaire, puisque l'essence de la vie se situe à l'échelle moléculaire, elle est donc obligée d'en aborder l'étude à ce niveau si éloigné des phénomènes macroscopiques et tangibles, et ce par des voies différentes où doivent trouver place d'autres hypothèses et théories.
Ce sont ces voies disruptives qui sont à l'origine
de la psychobiologie quantique ou électropsychobiologie.
Actuellement les biologistes établissent des résultats expérimentaux le plus souvent d'ordre chimique,
mais leurs préoccupations ne s'étendent pas suffisamment aux nombreuses interactions physiques, à l’échelon des atomes et molécules, d’ordre électronique et électromagnétique,
là où se situe l’essence même du vivant, et des phénomènes qui l’organisent.
Les réactions chimiques observées ne sont que d'éventuelles conséquences de ces phénomènes.
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L'approche des principes de la dynamique biologique
Des mécanismes de commandes , propres au vivant, comportant la participation de principes physiques, sont nécessaires à organiser, déclencher, les fonctionnements cellulaires.
Une connaissance plus avancée du vivant, doit se rechercher à un niveau sub-microscopique, celui des atomes et des molécules, en y admettant une organisation formelle de la matière, et en tenant compte des phénomènes électroniques qui s'y produisent et de leur liaison intime avec cette organisation..
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Nous sommes des êtres d'essence électrique
Il n'est pas de matière sans charge électrique, pas de biologie sans tenir compte de leur existence, de leur rôle, de leur dynamique.
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Comprendre la cellule
Chercher à comprendre le vivant, ,
nous demande de nous entourer de toute donnée susceptible d'être utile à ce vaste et complexe problème.
Il est nécessaire d' user de toutes les connaissances dont on dispose, en ce qui concerne la cellule.
On doit tenir compte des couches monomoléculaires, des phénomènes de surface qui sont primordiaux en biologie, avoir présent à l'esprit la nécessité des incidences de l'électricité, de même que les connaissances physiques actuelles des cristaux liquides, doivent nous faire pressentir des arrangements moléculaires dans le cytoplasme.