Une cosmologie du vivant :
vers un univers organique conscient
Nouvelle
épistémologie
La psychobiologie quantique propose une cosmologie du vivant, dans laquelle :
-
L’être humain est vu comme un transducteur d’énergie virtuelle en matière,
-
La cellule devient un point nodal de l’unification des champs,
-
L’univers est perçu comme une structure organique consciente, propulsée par une dynamique intérieure du vivant.
Ce que propose la psychobiologie quantique dépasse une simple intégration des disciplines. Elle :
-
Unifie les niveaux : subatomique, cellulaire, psychique
-
Reconnaît l’énergie comme information en mouvement
-
Pose une cosmologie du vivant, où la conscience structure la matière.
Elle propose donc un changement de paradigme, avec une science non plus fondée sur l’extériorité,
mais sur la participation du sujet à l’acte de connaître.
La Psychobiologie Quantique est une science émergente qui établit des corrélations inédites entre les dynamiques psychiques, les structures cellulaires et les lois physiques de l’information.
S’appuyant sur une équation non linéaire de Schrödinger adaptée aux systèmes vivants, ainsi que sur la modélisation en trois champs de la cellule (H₁ : biochimique, H₂ : informationnel, H₃ : quantique et photoniquement actif), la psychobiologie quantique propose une grille de lecture unificatrice des processus d’auto-régulation, de mémoire vibratoire, et de mutation transgénérationnelle.
L’approche repose notamment sur des protocoles thérapeutiques validés empiriquement, tels que le Test Biologique de Précision (TBP), qui permet l’identification de strates informationnelles responsables de répétitions comportementales ou symptomatiques.
Ces strates sont modélisées comme des attracteurs vibratoires réversibles dans l’espace cellulaire, ouvrant la voie à des reconfigurations profondes de trajectoires de vie.
En intégrant les concepts de fonction d’onde psychique (ψ), de gravité psychologique, et d’intrication biologique, la PBQ s’inscrit dans un paradigme unifié du vivant, où les notions de temps, d’énergie et de perception sont redéfinies à partir d’une géométrie informationnelle dynamique.
