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La conversion du regard

 

Et si, la Théorie du Tout nous souriait dans le regard de Mona Lisa…

 

La prise de conscience des propriétés de la matière amène à un tournant de l’évolution humaine qui demande l’instauration d’une science de la conscience, autant qu’un changement de paradigme de tous les systèmes de pensée.

Si les découvertes faites en physique ont déclenché

une mutation de la conscience humaine, trop d’êtres humains vivent encore en état d’insécurité intense.

Cela s’explique parce que les principes scientifiques fondamentaux régissant notre conception du monde ne sont toujours pas actualisés dans la réalité quotidienne, alors qu’ils ne sont plus adaptés pour décrire la nature de la réalité.

 

Les découvertes sur le fonctionnement de la matière révèlent un autre scénario, autant qu’elles peuvent contribuer aujourd’hui  à élaborer de nouveaux modèles dans les domaines des sciences humaines et de l’économie. Ceci implique que les nouvelles connaissances scientifiques aient pour mission, plus que de concourir aux avancées technologiques, de modifier le regard que nous portons sur notre état d'être humain, sur les aptitudes et le rôle de notre espèce.

La science ne peut plus être déconnectée des finalités offertes à l’ensemble des espèces, des réflexions sur le sens de la vie et des enjeux économiques.

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La science, une influenceuse

Les concepts élémentaires scientifiques particulièrement en physique influencent notre vision du monde, conditionnent nos croyances, notre intelligence et finissent par régler notre vie.

Mais force est de constater que si les découvertes faites en physique au début du XXème siècle, notamment sur la nature du vide, ont bouleversé et redéfini la nature même de la réalité,  que si l'absence de causalité dans les phénomènes quantiques a induit un process d’émergence non linéaire, le changement de paradigme de cette physique si disruptive n’a toujours pas été actualisées dans les espaces économiques, socio-politiques, socio-culturels…

Il est plus que temps de mettre à jour l’ensemble de nos connaissances car nos expériences découlent de ce que nous avons accepté comme vrai à l'égard de ce qui est réel, et notre monde et notre vie sont  tributaires de la façon dont on les perçoit

Les recherches en neurosciences ont démontré que nous comprenons le monde extérieur non pas par des signaux que reconnaissent nos sens, mais que des signaux activent des modèles déjà existant, ceci implique que nous ne dépendons pas du monde physique mais de nos croyances qui nous déterminent mathématiquement.

 

Si notre vie est basée sur ce que nous croyons, alors que se passe-t-il si ce que nous acceptons comme vrai s’avère erroné ?

Il s’ensuivra et se reproduira dans notre environnement, les mêmes difficultés, les même impasses, issues d’une même source d’erreur : la  compréhension dépassée autant que  tronquée des lois de la matière.

Nos expériences ne sont ni plus ni moins que des réponses à l’idée que nous nous faisons du monde et celle-ci induit les attitudes que nous portons en nous ; Il ne s'agit pas de chercher comment transformer cette réalité, mais plutôt de se demander pourquoi elle change si peu. C'est dans la réponse à cette question que se trouve la clé d’un vrai changement, voire même d’un retournement de situation.

Si trop d'êtres humains vivent encore en état d'insécurité intense, cela s'explique parce que les principes scientifiques fondamentaux déterminant notre conception du monde n’ont pas été actualisés dans notre réalité quotidienne. Finalement les lois de la physique s’avère être de simples habitudes et il y aurait une sorte de névrose de la matière à engendrer, de la sorte de la répétition. Voilà sans doute la raison pour laquelle nous ne sommes encore pas sortis de la projection de ce monde newtonien et qu’il demeure encore le paradigme dominant, combien même les dernières acquisitions de la physique démontrent que la matière existe en fonction d’une résonance et à partir d’un champ de pures potentialités.

Ce n’est pas la réalité du monde physique que nous percevons mais l’interprétation qu’en donne le cerveau, en définitive il n’y a ni lumière, ni couleur en soi, pas de son, ni de musique, mais seulement des ondes électromagnétiques et des variations momentanées de la pression de l’air.

Il n’y a pas non plus de chaud et de froid, mais seulement des molécules en mouvement avec plus ou moins d’énergie cinétique. Si la nature du vide a changé, la réalité issue de ce vide devrait en être altérée et certaines lois régissant le réel auraient du voir leur application suspendue, ce d’autant plus que l’environnement que nous percevons est une totale invention de notre part.

Pourtant étrangement, depuis Newton, nous n'avons toujours pas actualisé les lois qui régissent la matière. La réalité newtonienne, fondée principalement sur un mouvement rectiligne uniforme, une linéarité, nécessite pour que nous changions de direction, un accident, une rupture ou encore une saturation, soit : "un état de crise". Il serait même plus approprié de dire qu’à partir de cette conception du réel, nous produisons de la crise. Ceci implique que nous  nous servons de notre  intelligence, autant que de notre créativité pour éviter le pire, ou au mieux pour nous maintenir dans un état stationnaire,

Il s’agit de tenir et non d’évoluer, en tant qu’être humain nous dépensons notre énergie au service du maintien de la survie et de son modèle de sécurité illusoire, nous sommes dans l’évitement du flux de la vie.

Alors inutile d’être surpris, désemparé, ou encore découragé car la crise environnementale autant qu’économique qui nous traverse, et non pas que nous traversons, n’est ni plus, ni moins que l’aboutissement du paradigme newtonien, qui vient présentement d’atteindre son but, et par conséquent sa limite.

Ceci montre  que nous sommes bien en face d’un processus en voie d’anéantissement car ses lois ne sont plus appropriées pour répondre aux enjeux environnementaux de notre société.

Excellente nouvelle, si nous considérons cet état limite comme l’ opportunité de nous redéfinir en tant qu’espèce, et de nous convertir à une tout autre vision du monde, à  un tout autre modèle de la réalité construit sur une autre matrice que celle de la résistance et de la survie, le modèle de l'émergence.

L’instinct de survie n’est pas fondamental, l’instinct fondamental est d’exprimer son pouvoir créateur.

En actualisant l’ensemble de nos connaissances sur les lois de la physique quantique, qui n’ont jamais été envisagées sérieusement comme un modèle sociétal, nous allons contribuer à l’émergence d’un monde en résonance, en harmonie avec le vivant.

Tirons partie des principes de la physique quantique pour sortir de cette crise de civilisation.

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+33 6 16 85 20 82

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